dimanche 26 décembre 2010

Oh baby, baby, this is a wild world ...


Alors est-ce ça la folie ? Chercher en vain un marque-page en métal sur lequel est écrit FITZGERALD. Penser qu'on a perdu son écrivain favori en perdant le marque-page, alors que le livre est toujours là, sur la table de nuit. Est-ce ça ? La folie ? Se retrouver transie d'horreur et de désespoir à fouiller partout, retourner les meubles, éplucher chaque livre, utiliser même un aimant et sonder la pièce entière, les yeux remplis de larmes, comme une enfants qui aurait fait une bêtise. Et puis retrouver enfin l'objet du délire et reprendre son souffle, recommencer à respirer après un horrible cauchemar. Dingue d'en arriver là pour un malheureux morceau de fer qui rouillerait sous la pluie.  Hallucinant de prendre conscience de l'attachement matériel qui me maintient ici; comme un grigri palpable pour un équilibre immatériel et pourtant si nécessaire.
 

lundi 13 décembre 2010

Hello, Dexter Morgan.


Three episodes left, and that is a bad bad new ...

Terminer une saison de Dexter, c'est comme fumer sa dernière clope, on se demande si on tiendra sans une suite. Jusqu'à ce que la prochaine arrive. Trouver une morale à ceux qui n'en ont pas, et y tenir quoiqu'il en soit.

dimanche 12 décembre 2010

I wish you a crazy christmas.

Comme une immense envie de rentrer, un bonheur singulier de s'imaginer sur la route à attendre le bout du chemin sans se soucier du temps mais en comptant les kilomètres. Comme un soulagement certain de s'allonger dans son lit d'avant en écoutant le bruit du vent qui font se claquer les portes en ciselant les lumières du sapin dans le salon. Comme un sourire invisible de voir sur un panneau blanc le nom des villes qui sont les siennes. Comme un sacré soulagement de réussir les examens, d'études ou de code , avec des félicitations.  Comme une imperturbable nostalgie de se voir revenir sur les traces d'un passé, trop jeune pour être oublié et trop vieux pour, dans les moindres détails d'un esprit vagabon, être vrai, sans en finir magnifié. Comme un irréprochable désir de s'offrir pour finir l'année un vrai repas sans artifices, servi sans qu'on le prépare, les pieds sous la table d'un restaurant bon marché. Comme un véritable délice, le jus de pomme épicé, que l'on boit chaud à Sarlat, en ce jour de marché. Comme une sublime porte ouverte à tous les souhaits non-exaucés, à tous les désirs enfouis, à toutes les questions d'envies.




Et elle se va navigant un peu plus sur les flots d'un départ désiré, voguant toujours sur l'écume d'une naissance nouvelle, criant dans le vent au dessus du gouffre de son existence que les maux n'ont plus raison d'être lorsqu'ils sont invisibles. Everything's fine, vita è bella, "porque sabe que le gusta la luz en los ojos de un hombre que no pueda salvar su inocencia y que no crea en el mito de Peter Pan."

lundi 6 décembre 2010

"Mais la fin des autres, c'est le début de son trépas."

Lassitude quand tu nous tiens. Elle n'a même pas envie de les revoir, ça l'emmerde bien ce soir. Se sentir invisible, se sentir étrangère. Elle va dormir, mourir une nuit pour revenir demain. Vivante comme elle peut, vivante auprès d'eux. SarlatBama est parfois bien plus beau que tout l'Hérault, son pays. Elle s'enfuirait sans mot s'il n'y avait personne. Sans remords, sans pardon. Juste s'enfuir dans un ailleurs, une utopie infinie, un chemin vers l'ignorance, une voie à la connaissance. Le mentir vrai n'existe pas, la nature humaine est perverse, le cinéma est délicat. Tout se croise et se délie, tout s'invente et se suspend. J'aimerai entendre un océan et crier dans un coquillage que l'amour n'est plus tout jeune, que le pétrole se fait la malle, que les enfants deviennent grands.

SALOP-ET-RIZ. - Polluated seaside.

samedi 20 novembre 2010

Au Lébérou, on boit une bière ambrée. Parce-que c'est la plus belle.

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"Né le matin, majeur à midi, vieux dès 20H, l'histoire oublie les héros pas les vainqueurs."

Mauvais temps, jolis instants. On mange des fruits et des légumes que Naps cuisine. Un jour des beignets de courgettes & de la purée de carotte, un autre un velouté de pomme-kiwi avec du chocolat fondu. Je me sens comme une enfant qui découvre la nature. Je ris, j'apprivoise Hooch, je n'ai pas peur de LaGalette, ce chien gros et plat qui pisse dans la rue et qui ne peut même pas se relever quand il s'assoit. Il y a un peu plus de trois semaine, ils m'ont dit "Tu as changé". Se sentir responsable, gérer de nouvelles choses, ne pas dépenser inutilement, réfléchir à deux fois avant d'investir dans un appareil photo, avoir un nouveau statu. Oui, j'ai muri, certainement.

"J'suis un grand d'ce monde, compose avec la lumière en tant qu'homme de l'ombre."

Je deviens technicienne. La peur au ventre, la mort aux trousses. Sean Connery est grand, Hitchcock l'était, Inaritu mon amour. Photophobia. Rien n'est différent, mais tout a changé. Peut-être a-t-on simplement découvert une voie meilleure. Je souris, mais j'ai mal à la vie. Infime gravité qui vous ronge l'esprit. Égocentrisme imbuvable. Fatigue perpétuelle. Premier soleil depuis que je suis rentrée, premier réveil de nos fleurs fanées. Avouer tout. Embrasser nos idées, écouter nos pensées, faire de nous ce que nous voulons être. N'être jamais dans le déterminisme, éradiquer le fatalisme, jouer des coudes, s'engager, faire demi-tour mais choisir.

"365 jours puis 700, le temps commence à manquer l'espionnes.
365 jours puis 700, le temps commence à manquer tu te questionnes."



 Plus que quatre semaines. Bosser, bosser, bosser jusqu'à l'épuisement, et penser au cadeaux pour les autres. Ne rien oublier, n'omettre personne. Je me demande ... J'ai besoin. Revoir les copains, les jolies filles et les bouches en cœur. Revoir les faux frères & sœurs qui sont devenues des vrais. Revoir le blondinet qui est son real bro' for ever. Une bouffe avec les barons, comme à l'accoutumée. Les trois repas de Noël en deux jours qui te pètent le bide. Le bonheur des enfants. Les choses comme ça. Le retour au pays.

"Qui insulte la paix ne la mérite pas."

 Je suis tellement fascinée par l'esthétisme de la fumée que je n'arrive pas à m'arrêter. Je suis tellement piégée par le besoin que j'en oublie la santé. Peu de temps et déjà trop. Quelques années, beaucoup plus en quelques mois, la solitude, la tentation, l'envie. Sarlat-la-Canéda, les autres qui comprennent. Les sourires de Sam, les blagues de Marine, l'humour Juif, nos conneries. Le carnet d'adresse ; la blague qui a mal tournée sur une petite bourge cul-cul-la-praline qui pleure toutes les larmes de son corps. Le stress qui n'aide pas. La peur de la route et les premières heures de conduite. Le passé ancré dans un esprit trop petit pour supporter tout ça. Les accidents mortels, les traumatismes.

Un coup de fil aux copains, et la vie redevient.
/JJ
J

mercredi 17 novembre 2010

Don't be so selfish.

A part ça, ça va. A part ça, Sarlat, ça va. A part ça, moi, ça va. A part ça, Audiard, ça va. A part ça, le cinéma, ça va. A part ça, eux, ça va. A part ça, les pine-co, ça va. A part ça, l'amour, ça va. A part ça, le sommeil, ça va. A part ça, le BTS, c'est décidé. A part ça, Dans ma Benz, ça va. A part ça, les stages, ça va pas. A part ça, le manque, ça va pas. A part ça, la nicotine, ça va pas. A part ça, l'ivresse, ça va. A part ça, le permis, ça va. A part ça, la peur, ça va pas. A part ça, Simone, ça va. A part ça, le Sud, reviens-moi. A part ça, à part ça, à part ... ça.

dimanche 14 novembre 2010

L'image conteuse.

A faire la bourge, on a l'teint blafard.

Aujourd'hui, j'ai envie de parler de bonheur. Un bien être qui dure une semaine et qui parait durer des mois. Qui fait retomber tout le monde de très haut quand la réalité nous rattrape. 
Tout commence par un homme, cet homme, ce fabuleux, ce grand, cet immense monsieur qui n'a l'air de rien et qui s'avère être tout. Un grand tout de la nature humaine. Un ion positif qui te trimballe une énergie à faire pleurer les dames d'un rire aigu. A leur papillonner le ventre, à leur muscler les abdos.
Ce monsieur s'appelle JLM. Et JLM, JeL'Aime.


Avec les autres on est partout, tout le temps. On a des petits badges violets avec nos faces dessus et on peut passer partout, même dans les soirées VIP qui sont nulles à chier. Que des intellos, bobos, bourgeois qui se prennent la tête sur des questions philosophiques, du jazz en live avec un saxophoniste et un pianiste, une lumière tamisée et une expo photo de Christian Poveda. Nous on se marre, on se fout de leur gueule et on joue au bourgeoises, pour rigoler. "J'adooore c'que vous faites. J'ai tout vu." On décline la phrase de milles façons différentes, dans toutes les situations possible.


Mélou la Mort.
On parle de Pologne, on se dit qu'on va y aller. On regarde du coin de l'œil Elizabeth Huppert parce-que n'empêche qu'on l'admire. Elle ressemble à la mort, elle est toute fripée et elle porte un rouge à lèvre très voyant et elle a des cheveux gris. Des airs de sa sœur, aussi. On croise Christa Théret qui me demande du feu. PETITE POUFFE Bonjour ! En mode Paris-j'me-la-pète-j'ai-joué-dans-LOL-et-LeVillageDesOmbres-moi. Connasse. Je fais semblant de pas la reconnaitre pour la faire bien chier, et je crache sur sa gueule une fois qu'elle est entrée dans le salon de thé le plus cher de Sarlat. Sa copine actrice aussi est une petite pouffe. Et le réalisateur est trop moche. On s'marre.

Dans le lot, on croise Edouard Baer, on filme son passage au cinéma. Il a trop la sse-cla, je kiffe. Le film d'Esposito est une grosse merde, comme celui de Garcia. Romain nous dit ce matin "Ils s'amusent, ils ont du fric, ils font des films avec leur copains, mais ils n'y aucun propos". Il met des mots sur ma pensée, gros soulagement, j'ai démonté le film devant lui avant qu'il aille le voir. J'avais presque peur qu'il ne soit pas d'accord avec moi. C'est quand même mon prof d'amour, je voudrais pas passer pour une teu-bé. Alain Attal est moche avec sa doudoune, mais j'ai trop de respect pour le lui faire remarquer. Trop de respect aussi pour parler honnêtement à Nicole Garcia de la valeur de son film. Elle a quand même fait "Selon Charlie".
On trippe sur le making-offeur trop nul qui est hiérarchiquement au dessus de nous, mais qui fait de la daube et qui nous pique toutes nos idées. P'tit con ! On va à la soirée lycéen de fin de festival pour faire quelques plans, c'est nul. Un p'tit pet et puis s'en va.

À Sam, à Mélo, à Mélou, à Marine, à Emma, à JLM, et à moi-même, je dis merci. Merci de cette putain de bonne semaine. Pour les conférences fantastiques sur la lumière et le scénario, pour la private avec Soulaymane Cissé "il faut faire une radiographie, owi, owi !", pour l'interview radio et tv qui nous a bien fait tripper, pour la manipulation de l'image, pour le foie gras trop bon au carré VIP, pour les caméras qui deviennent prolongement du corps, pour le repas de clôture où on s'est pété le bide, pour les danses free-style, pour le resto, pour les larmes de rire, pour JLM, pour la photo encadrée, pour Sound of Noise ce petit bijoux, pour les milliers de pas qu'on a fait en une semaine, pour le bagde bordeaux accrédités presse et non pas jaune pisseux des lycéens tout court.

JEAN LUC TRONCHARD, MERCI !

lundi 8 novembre 2010

dimanche 7 novembre 2010



Parce-que ça m'a trop fait marrer, que c'est complètement niais, loufoque et poétique.
Et que ça s'appelle Tricot Machine.

samedi 6 novembre 2010

La meuf qui adorait poster des trucs inutiles sur son blog incipide.

So that's what you want ? Don't kill yourself, tu veux ? 
C'est décidé, dans une semaine, j'arrête de fumer,
c'est mauvais pour la santé. WARRIOR.



Être malade à en crever comme une vielle chienne qui a mal, qui pourrait pleurer vingt ans. Souffrir comme une sale pétasse qui cherche le bonheur et qui se cogne au malheur ( physique, le malheur, physique ! ). Tout ça pourrait très mal tourner. Le dos cassé toute une vie, le poids mammaire comme un somnifère, une saleté de handicap alors que c'est ferme, c'est tout beau, c'est tendre et ça plait. Mais non. Du sport coaché, du soja, la taille maigrelette pour éviter les maux. Et puis l'apéro qui dure jusqu'à minuit, les blagues, la mort, les pleurs, nous. Sarlat. Des choses, d'autres. Les projets, la culture, nos moqueries d'horribles personnes. Les snobs qui vous emmerdent, on vous reverra jamais de toute façon, bande de cons. Les pine-co et les voyages en pays lointains, en pays imaginaires ou bien en philopays. La sse-cla, la vraie. Celle où tu sors les lunettes noires pour pas qu'on puisse te reconnaître tellement ça soule d'être aussi cool. Nous. Les coolos de la vie. Les boloss de l'esprit. La semaine qui arrive, avec le répertoire ouvert, la grande gueule et le culot pour aller taper la discute à Sandrine Kimberlain et Gilles Lelouche. On est là pour ça ou bien on s'touche ? Oh oui, touchez-moi, oh oui, que j'vous lèche le cul un peu, que j'vous dise combien vous êtes beaux alors que vous êtes que des gros péteux qui vivent de fric et de coke. Vous êtes laids. Et nous, on s'kiffe à mort, tu peux pas test. Et puis les copain(g)s qui appellent à deux heures du matin, alors que vous vous endormez à peine. Au point de croire que c'est déjà le réveil qui sonne, qu'il faut se lever. Sale idée que de mettre une même sonnerie pour les appels et les alarmes. Sale idée ! Et donc ces copain(g)s là, ( que vous avez quitté y'a même pas une semaine et qui déjà vous manquent, tellement vous êtes toute seule comme une biche braconnée, sur le point de crever des lombaires et que vous voyez personne ) ils vous donnent tellement la pêche à vous foutre les crampes aux joues à force de raconter des conneries qu'il vous est impossible de dormir pendant une, deux, peut-être trois heures ensuite. Ces copain(g)s qui vous coupent la nuit mais que vous pardonnez parce-qu'ils sont drôles comme des cochons empaillés, ils sont surtout vos amis. Et ça aussi, c'est la sse-cla.
Le texte par en noisette, pour pas dire en cacahuètes, parce-que la meuf qui écrit a un mal de crâne à décorner les boeufs. Ouais, il faut imaginer un énergie tellement puissante avec des éclairs au dessus des boeufs, une tempête infernale en somme, qui pourrait ôter toute matière cornue à leur face de grosse vache. Freestyle, mon frère, freestyle. Sur ce, j'me rentre; j'ai une vieille dissert' philosophique à affronter demain matin. Oh putain !

vendredi 5 novembre 2010

Away we go.

Et tu l'veux dans ton p'tit cul, et tu l'veux dans ta te-cha ! 
I'm going to Polonia*, ja ! Trop funky, trop fresh, trop perfect, trop choupi. Let's go to Polonia, ja, ja ! Let's go to Polonia ... Projet réalité. Réalité dépassée yeah.


*Polonia, parce-que Poland ça sonnait mal.

jeudi 4 novembre 2010

J'aime TFLN.

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 "I know I am usually the slut but tonight it's her. She is being a slut, yes slut, 
T as in Tomorrow, 
U as in Uterus, 
L as in Llama 
and S as in Sangria. 
That spells slut, but backwards and that's what she is being."

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lundi 1 novembre 2010

J'ai aussi de supers amies fille, oui.




Par Emilie



Les copain(g)s. Partir et revenir, les voir, leur claquer une bise de mamie, leur tirer les joues,
"comme ils ont grandi, mes petits, comme ils m'ont manqué mes enfants". 

dimanche 17 octobre 2010

Pourquoi sa soeur ne se rend-elle pas compte que Dr Sexy est celui qu'il faut coffrer, putain !

Elle est tellement contente de voir les jours se rapprocher, qu'elle a envie de chialer et de sauter partout en même temps. C'est trop un truc de gueu-din quoi. Elle a le smile jusqu'à la racine des cheveux tellement elle est happy. 

Remarque : Apprendre 4435 années d'Histoire de l'Art en une journée, c'est comme regarder un épisode de Dexter sans une goutte de sang. C'est nul.

jeudi 19 août 2010

Hola, como esta en la casa ?

Se réveiller un matin, et oublier la veille, vite.
Strong little girl.

On sourit, on s'insulte. Une fausseté maladive pour cacher les doutes. En face, six garçons qui n'ont l'air de rien. En face, trois amis et des copains. Et puis, naturellement, on dit tout haut ce qu'on a gardé pour soi si longtemps. Boum. Boum. Besoin de parler. Mais on le dit vite et on rigole grassement, histoire d'être plus warrior que Gimli dans le Seigneur des Anneaux.

Moi, une fille ? AHA. Jamais. Jamais plus, depuis qu'ils sont là. On se voile la face, c'est plus simple. On ne croit en rien, jamais. Les illusions perdues, les histoires sans fin, tout ça, on n'en veut pas. Pessimistes dans l'âme, ou bien Carpe Diem. La réalité des uns, la carapace des autres.

Et puis finalement, on finit par vomir. Trois, six, sept fois. On vomit ses doutes et ses sentiments. On gerbe les phrases toutes faites, les belles paroles et l'hypocrisie de la poésie.

Il y a lui, là-bas, qui vous regarde doucement. Qui s'approche un peu, et qui sait parce-qu'il comprend. "Alors, j'avais pas raison, ma belle ?". Triste et satisfait, le bonhomme. "J'ai toujours raison, tu le sais pourtant ... Pourquoi donc ne m'écoutes-tu jamais ?". Il n'est pas parti, lui. Il aurait pu s'enfuir, mais il est resté pour vous. Et on se dit combien l'éphémère est laid quand la durée nous gagne.

jeudi 12 août 2010







Finalement, ce n'est que le début d'un nouveau film, pas vrai ...




LUMIÈRES
MOTEUR
ACTION

dimanche 4 juillet 2010

A bout de souffle.

Je crois que cette chose va être mon carnet de bord pour l'année à venir.
En effet, j'ai un peu peur de l'aventure All-alone-at-Sarlat-la-Canéda,
alors autant se la jouer faussement solitaire via un blog, hein ?

mercredi 30 juin 2010

Untitled

Deserved happiness ...
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Fin de partie.





THE WARNING

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Lightmare



"Tout ça me tourmente, tout ça me tourmente, tout ça me tourmente un peu,
mais dès vingt heures trente, mais dès vingt heures trente,
j'n'ai pas le coeur, j'n'ai que la queue ..."


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