samedi 6 novembre 2010

La meuf qui adorait poster des trucs inutiles sur son blog incipide.

So that's what you want ? Don't kill yourself, tu veux ? 
C'est décidé, dans une semaine, j'arrête de fumer,
c'est mauvais pour la santé. WARRIOR.



Être malade à en crever comme une vielle chienne qui a mal, qui pourrait pleurer vingt ans. Souffrir comme une sale pétasse qui cherche le bonheur et qui se cogne au malheur ( physique, le malheur, physique ! ). Tout ça pourrait très mal tourner. Le dos cassé toute une vie, le poids mammaire comme un somnifère, une saleté de handicap alors que c'est ferme, c'est tout beau, c'est tendre et ça plait. Mais non. Du sport coaché, du soja, la taille maigrelette pour éviter les maux. Et puis l'apéro qui dure jusqu'à minuit, les blagues, la mort, les pleurs, nous. Sarlat. Des choses, d'autres. Les projets, la culture, nos moqueries d'horribles personnes. Les snobs qui vous emmerdent, on vous reverra jamais de toute façon, bande de cons. Les pine-co et les voyages en pays lointains, en pays imaginaires ou bien en philopays. La sse-cla, la vraie. Celle où tu sors les lunettes noires pour pas qu'on puisse te reconnaître tellement ça soule d'être aussi cool. Nous. Les coolos de la vie. Les boloss de l'esprit. La semaine qui arrive, avec le répertoire ouvert, la grande gueule et le culot pour aller taper la discute à Sandrine Kimberlain et Gilles Lelouche. On est là pour ça ou bien on s'touche ? Oh oui, touchez-moi, oh oui, que j'vous lèche le cul un peu, que j'vous dise combien vous êtes beaux alors que vous êtes que des gros péteux qui vivent de fric et de coke. Vous êtes laids. Et nous, on s'kiffe à mort, tu peux pas test. Et puis les copain(g)s qui appellent à deux heures du matin, alors que vous vous endormez à peine. Au point de croire que c'est déjà le réveil qui sonne, qu'il faut se lever. Sale idée que de mettre une même sonnerie pour les appels et les alarmes. Sale idée ! Et donc ces copain(g)s là, ( que vous avez quitté y'a même pas une semaine et qui déjà vous manquent, tellement vous êtes toute seule comme une biche braconnée, sur le point de crever des lombaires et que vous voyez personne ) ils vous donnent tellement la pêche à vous foutre les crampes aux joues à force de raconter des conneries qu'il vous est impossible de dormir pendant une, deux, peut-être trois heures ensuite. Ces copain(g)s qui vous coupent la nuit mais que vous pardonnez parce-qu'ils sont drôles comme des cochons empaillés, ils sont surtout vos amis. Et ça aussi, c'est la sse-cla.
Le texte par en noisette, pour pas dire en cacahuètes, parce-que la meuf qui écrit a un mal de crâne à décorner les boeufs. Ouais, il faut imaginer un énergie tellement puissante avec des éclairs au dessus des boeufs, une tempête infernale en somme, qui pourrait ôter toute matière cornue à leur face de grosse vache. Freestyle, mon frère, freestyle. Sur ce, j'me rentre; j'ai une vieille dissert' philosophique à affronter demain matin. Oh putain !

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